Citations correspondant à « loué » : 133 citations trouvées dans le Littré (40 affichées)
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N'attendez pas que je loue M. de Turenne comme on loue tous les hommes ordinaires FLÉCHIER Turenne. ordinaire
N'attendez pas, messieurs, que je suive la coutume des orateurs et que je loue M. de Turenne comme on loue des hommes ordinaires FLÉCHIER Turenne. homme
Qui loue tout n'est qu'un flatteur : celui-là seul sait louer qui loue avec restriction VOLTAIRE Temple du goût, lett. louer [2]
N'attendez pas que je suive la coutume des orateurs, et que je loue M. de Turenne comme on loue les hommes ordinaires FLÉCHIER Tur. suivre
Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance RACINE Andr. V, 5 louer [2]
La fin loue l'ouvrier BOSSUET ib. ouvrier, ière
Un de ces hommes que le siècle loue MASSILLON Carême, Mauv. riche. siècle
J'ai loué les sots, j'ai dénigré les talents VOLTAIRE l'Écossaise, I, 1 dénigrer
Ici, messieurs, mon silence le loue plus que mes paroles FLÉCHIER Lamoign. louer [2]
Si c'est une vieille, néant ; je suis loué DANCOURT Cur. Compiègne, sc. 4 néant
Il le loue, il l'excuse en toute occasion FÉNELON Tél. XII occasion
On loue à regret ce qu'on ne voudrait pas imiter GENLIS Ad. et Th. t. I, p. 219, dans POUGENS regret
Ce subtil faux-fuyant mérite qu'on le loue MOLIÈRE Femm. sav. I, 4 faux-fuyant
Nous louons ce qui est loué, bien plus que ce qui est louable LA BRUYÈRE XII loué, ée [2]
Le ciel en soit loué ! - J'en ai la joie au coeur MOLIÈRE F. sav. V, 5 loué, ée [2]
Ce jeune Mars qu'on loue a su jadis te plaire CORNEILLE Cid, IV, 2 mars
Dieu soit loué, m'en voilà sorti DIDEROT Salon de 1767, Oeuvr t. XV, p. 164, dans POUGENS sorti, ie
Par ma barbe ! dit l'autre, il est bon, et je loue Les gens bien sensés comme toi LA FONTAINE Fabl. III, 5 bon, bonne
Et Gombaud tant loué garde encor la boutique BOILEAU Art p. IV boutique
Ce sont les ingrats, les menteurs, les flatteurs qui ont loué le vice FÉNELON Tél. XVIII ce [2]
Un bon prince est toujours assez loué d'être aimé MASSILLON Or. fun. Dauph. de
Une duplicité indigne qui loue en face et déchire en secret MASSILLON Car. Médis. déchirer
De lâches coups d'État dont en l'âme on se loue, Et qu'une absence élude.... CORNEILLE Suréna, V, 3 éluder
Il excelle par son cuisinier ; aussi n'en est-il pas ingrat.... il l'a loué toute la journée MONTESQUIEU Lett. pers. 48 ingrat, ate
Un bon prince est toujours assez loué d'être aimé MASSILLON Or. fun. Dauphin. loué, ée [2]
Le louant [Condorcet] est plus véritablement philosophe que le loué [Pascal] VOLTAIRE Mél. litt. Avertissem. Pensées de Pascal. loué, ée [2]
En vérité je vous loue de votre sang de macreuse MIRABEAU Lett. orig. t. III, p. 583, dans POUGENS macreuse
Et à son avis, si Catilina l'eût voulu louer, il ne l'eût pas loué plus maigrement GUEZ DE BALZAC le Prince, ch. 25 maigrement
Vous avez loué vos dieux de bois et de métail BOSSUET Polit. X, VI, 7 (les éditions récentes donnent métal). métail
Quelqu'un suivant la pente de la coutume qui veut qu'on loue LA BRUYÈRE V pente
Vous fûtes hier loué par des gens d'un grand poids MOLIÈRE Mis. III, 7 poids
J'y sens une petite pointe de dépit qui a son mérite : c'est la jalousie qui ne loue MARIVAUX l'Heur. stratag. II, 3 pointe
Sparte était sobre avant que Socrate eût loué la sobriété ROUSSEAU Ém. IV sobre
Qui pourrait en douter ? moi ; cependant j'avoue Que d'un rare savoir à bon droit on le loue GILBERT le XVIIIe siècle. droit [3]
Les flatteurs qui ont loué le vice, les critiques malins qui ont tâché de flétrir la vertu FÉNELON Tél. XVIII flétrir [2]
De ce qu'elles ont moins, c'est dont plus je les loue : Aux sottes, de l'esprit ; aux vieilles, de l'humeur SCARRON Jodelet duelliste, I, 1 humeur [1]
Corneille plus répandu aurait été plus loué, mais n'eût jamais fait Polyeucte D'ALEMBERT Ess. sur la soc. des g. de lett. Oeuv. t. III, p., 83, dans POUGENS. répandu, ue
Glorieux de me voir si hautement loué, Je devins aussi fier qu'un chat amadoué RÉGNIER Sat. VIII amadoué, ée
J'ai loué un hôtel deux mille écus, et j'espère passer le contrat aujourd'hui MONTESQUIEU Lett. pers. 45 contrat
On parle beaucoup de ma gaieté ; je crois, moi, qu'elle est factice, malgré le naturel dont on me loue GENLIS Ad. et Théod. t. I, lett. 6, p. 24, dans POUGENS factice